La photographie

Attention: autodidacte, et non professionnel de la photo, je ne me permettrai pas de donner des conseils très techniques, mais je me contenterai de citer les conditions dans lesquelles j'ai eu à travailler (prises de vues, développements, tirages, ...), ainsi que des notions élémentaires sur la photographie. Les personnes hautement intéressées sont priées de consulter les pages spécifiques, généralement indiquées dans le forum fr.rec.photo, ou dans les revues spécialisées.

Si vous désirez me laisser un message:

Débuts

Activité généalogique

Matériels utilisés

Termes techniques

Technique employée

Débat Argentique/Numérique

Le futur

Photos d'actes d'état-civil

Liens divers relatifs à la photographie

La page des accessoires

Scanner films en bande

Photos d'identité: textes règlementaires Tuto Photofiltre .

Fichiers divers, modes d'emploi

Défaut de diapositives

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Mes débuts dans la photographie.

Il y a quelques années, comme tous les jeunes d'hier et d'aujourd'hui, je cherchais un passe temps, un hobby, comme on dit.

Toujours attiré par les photos (j'ai fait mes vrais débuts lorsque j'avais à peine 10/12 ans, avec un "SIMPLEX", appareil très simple, de format 6x9), et voulant faire de belles photos, j'ai commencé par m'acheter un "Reflex" (un PRATICA Super SL, auquel j'avais ajouté un téléobjectif de 135 mm); c'était ma fierté, çà faisait "pro".

J'ai alors décidé de m'améliorer, par l'achat de livres spécialisés sur la photo; le premier s'appelait "Le Larousse de la photographie".

Voulant aller plus loin, et suivant les conseils prodigués, j'ai décidé de faire moi-même le développement et les tirages des photos Noir/Blanc.

Puis, comme beaucoup, je ne voulais plus retrouver des photos que le "photographe" du coin aurait MAL développées (j'ai même eu des diapositives trouées par un grand laboratoire, et sur demande d'explications, il m'a été répondu: "nous vous vendons 24 poses, et non 26"). Alors on se met à l'ouvrage (ce n'est pas si difficile que çà). Pour la technique, comme pour toute spécialité, il faut apprendre, et pourquoi pas, en le faisant soi-même, sinon il y a les clubs, ou un ami pour vous aider.

Pour commencer, tirer quelques photos dont le photographe vous a déjà développé les négatifs (risque mineur, sinon nul). Et on s'aperçoit que c'est facile. Continuer par les "trucages", c'est ainsi que l'on s'améliore. Au début, restez fidèle à des produits reconnus, fiables, les expériences dans ce domaine seront pour plus tard.

Pour la couleur, c'est plus délicat, car il s'agit surtout d'une question "financière": les produits sont assez chers (bien plus chers que pour le N/B), et durent peu longtemps (souvent moins d'une semaine). Il faut développer BEAUCOUP en PEU de temps. J'ai ainsi développé mes propres diapositives couleurs. Et quelle joie de voir enfin SES photos devenir visibles petit à petit, et pouvoir dire: "c'est moi qui ai fait çà".

Puis, comme les agrandissements réclament plus de qualité, je suis passé au format 6x6 (avec un YASHICA Mat 124) que je possède toujours.

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La Généalogie, une de mes activités actuelles.

Dans la généalogie, le travail principal est la recherche d'actes anciens (naissances, baptêmes, mariages, décès, sépultures, pour les plus simples, puis viennent les actes notariaux, de reconnaissances, les archives militaires, ou médicales, les passages sur bateaux, etc ...).

Ces actes, historiques, sont très fragiles, et leur utilisation est conditionnée à des obligations mineures (ne pas abîmer, ne pas exposer à une lumière vive, comme les flashs ou les projecteurs, ne pas "casser" (plier) les registres ... ).

Lorsque les recherches aboutissent à une trouvaille, il s'agit de retranscrire le fruit de ses recherches, afin de collationner ces maillons et en faire une chaîne, ou plutôt rassembler toutes ces branches pour en faire un arbre.

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Matériels utilisés (évolution depuis l’été 2002).

Appareil photo: CANON EOS33, objectif zoom 28-105/4-5,6, distance mini: 0,50 m, objectif 75-300/4-5.6, objectif 50 mm/1.8. Boitier piles BP300.

Flash: Canon 420EX

Pellicules: FUJI Supéria 200 à 400 ASA. Peut-être sujet à changement, mais dans la même gamme ou supérieure (chez KODAK, par exemple, j’utilise la ROYALE 200 et 400 ASA).

Pied photo: hauteur 1,50 m.

De récupération (support de flash) : après la patte fabrication maison, un support en forme de L, pour déporter l'appareil lors de prises de vues de documents (évite de voir les pieds sur les photos), tout en utilisant la rotule, et ses commandes, dans une position plus confortable.

De construction personnelle également: une télécommande électrique (câble de 2 m) permettant de prendre toute photo sans risque de bougé (d'après le document du site http://perso.wanadoo.fr/darricau/eos/).

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Explications de quelques termes techniques

Diaphragme: c'est un disque, placé dans l'objectif, dont le diamètre de l'ouverture centrale est variable, laissant ainsi passer plus ou moins de lumière suivant cette ouverture.

Focale: c’est la distance qui sépare le film du centre de l’objectif, lorsqu’on a mis au point sur l’infini. On dit souvent : focale d’un objectif.

Ouverture relative : c'est le rapport entre le diamètre du diaphragme grand ouvert, et la distance séparant la lentille de l'objectif, du plan de la pellicule (donc la distance focale). Plus le diamètre du diaphragme diminue, plus le chiffre indiquant l’ouverture augmente. Par convention, tous les chiffres gravés sur l’échelle de diaphragme d’un objectif correspondent à des ouvertures dont la luminosité relative a un rapport de 2. Une ouverture de 8 laisse donc entrer 2 fois plus de lumière qu’une ouverture de 5,6, et 4 fois plus de lumière qu’une ouverture de 4.

Obturateur: système de fermeture de l'objectif autorisant ou non la lumière à entrer dans l'appareil.

Profondeur de champ: netteté entre l'objet le plus proche et l'objet le plus loin à prendre en considération pour cette photo. La profondeur de champ est proportionnelle au chiffre indiquant l’ouverture du diaphragme (ouverture relative), donc inversement proportionnelle à l'ouverture du diaphragme.

Sensibilité: chiffre indiquant qu'une pellicule est plus ou moins sensible à la lumière. Exprimée en ISO (ASA et DIN, il s'agit de 2 normes, américaines et allemandes), du genre: 200/24. Plus les chiffres sont importants, plus la pellicule est sensible à la lumière, moins longtemps sera le temps nécessaire à impressionner la pellicule, mais plus le grain sera visible, sur les photos agrandies en particulier.

Vitesse: c'est le temps, exprimé en secondes, dixièmes, centièmes ou millièmes de secondes, pendant lequel l'obturateur restera ouvert. Plus longtemps l'obturateur restera ouvert, plus de lumière entrera dans l'appareil.

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Technique utilisée pour la reproduction de documents d'archives.

Pour la reproduction des documents d'archives, voici ma recette:

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Le débat Argentique/Numérique.

J'ai déjà donné mon opinion dans un débat argentique/numérique sur le forum fr.rec.genealogie (il s'agit de l'utilisation de la photo en Généalogie; dans d'autres situations, le débat pourrai prendre d'autres aspects), et ma position n'a pas changée: tant que le numérique n'aura pas la qualité de l'argentique, et à prix raisonnable bien entendu, je choisis l'argentique; oui, j'ai eu des documents datant de plus de deux cents ans, où la plume de l'écrivain devait être bien affûtée (peut-être pénurie d'encre :-)) ), car c'était presque illisible, tellement c'était fin. Alors prendre en numérique, et tirer sur imprimante, c'est un pari perdu d'avance (pour comparaison, l'argentique est donné pour 15/20 millions de pixels, voire 40 (qui dépendent plus de l'objectif que de la vue ou de la pellicule), le numérique actuel est à environ 2/3 millions de pixels pour les meilleurs appareils.

 Exemple d'un extrait de document photographié avec le matériel ci-dessus (12 ko), la photo de l'acte complet en 10x15 cm a été scannée à 300 DPI. La finesse de l'écriture (et sa dégradation dans le temps) oblige à des moyens assez sophistiqués. La même vue avec un appareil numérique n'aurait pas pu être déchiffrée.

Pour mieux illustrer ces propos, j'ai scanné (scanner à négatifs, à 2400 DPI) 2 vues, prises dans des conditions identiques, à la même résolution, traitées de la même manière (décolorisation, redimentionnement …. ), et je les ai "collées" afin de mieux faire comprendre ce que l'on trouve (l'écart d'écriture peut être plus important).

La partie du haut est une écriture fine, mais difficilement lisible, alors que celle du bas est plus épaisse, plus lisible après n'importe quel traitement d'image. Attention, photo de 117 ko.

Je dois ajouter que depuis quelque temps, nous trouvons en face de nous des microfilms, et que ceux-ci sont très souvent, hélas, de qualité douteuse. La photographie de ceux-ci, devant l'écran d'un lecteur de microfilms (nous n'avons pas toujours un photocopieur de microfilms qui fonctionne, à notre disposition) demande une qualité supplémentaire, puisque la vue va montrer une fuyante qu'il est impossible d'éviter. Cette prise de vue va demander une profondeur de champ non négligeable. Pour ma part, je considère que la prise de vue sera effectuée avec la vitesse mini, afin d'avoir une fermeture maxi du diaphragme. Il faudra également éviter les désagréments des reflets de la lumière, et rechercher le meilleur axe de prise de vue.

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Le futur.

Je me suis équipé, en 1999, d'un scanner de négatifs et diapositives (MINOLTA Dimage Scan Dual, résolution maxi :2400 DPI), qui me permet d'avoir une qualité "parfaite" des documents que je prends en photo, pour les reproduire en format A4 (contexte de mes recherches généalogiques), ou de reproduire en format personnel, la photo de mon choix, après correction éventuelle.

Pour la gestion de ces photos sur CD-Rom, le graveur de CD-RW a suivi, bien entendu.

Afin de parfaire mon activité "photo", et en particulier pour obtenir des résultats corrects des divers documents que je dois photographier, je pense à m'équiper prochainement d'un agrandisseur. Non seulement j'aurai le plaisir de faire moi-même mes photos, mais aussi pour mieux tirer certaines photos, ou ne pas devoir courir après le BON laboratoire de la ville (périodes de fêtes, week-end prolongé … ). J'aurai ainsi toutes possibilités de contrôler mes tirages, en numérique ou en argentique. 

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Liens divers relatifs à la photographie

Appareils CANON , de Daniel Rocha

http://eosseries.ifrance.com

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Assurance matériel photographique http://www.photim.com/Assurance/index.htm Ý

Cours de Photographie

http://www.dolphin2001.net/

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Généacapture: un super logiciel pour les relevés photos en généalogie, ou autres activités http://www.geneaphoto.fr

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New York Camera (achat par le NET)

http://www.ny-camera.com/

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Photos aériennes

http://www.ign.fr 

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Profondeur de champ

http://bonet.polycnrs-gre.fr/~edgar/pdc.html

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Textes règlementaires relatifs à la photographie.

Arrêté du 10 avril 2007 sur les photos d'identidé apposées dans les documents officiels.

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Fichiers divers relatifs à la photographie

Ces fichiers correspondent à des modes d'emploi divers d'appareils généralement en ma possession. Comme je ne peux mettre tous les modes d'emploi à ma disposition, je ne mets que ceux demandés par des utilisateurs divers.

MINOLTA 500 si

YASHICA MAT 124 G

CANON 420EX :
Mode d'emploi en ligne


Photocopie complète du document français - Partie 1 (3200 ko) - Partie 2 (3500 ko) - Partie 3 (3000 ko)

Mode d'emploi en ligne à charger (HTML) - 908 ko

Mode d'emploi d'origine CANON (document pdf) - 2,4 Mo

CANON EOS 5000- 5000 QD : document "Canon" en format .pdf, compressé .zip (2,7 Mo)

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